Avec Awayke, il aide 70 000 jeunes par an à mieux se connaître
- Philippine Dolbeau

- 13 sept.
- 3 min de lecture
De son école de commerce à 70 000 jeunes accompagnés chaque année, le co-fondateur d’Awayke raconte son parcours, entre épuisement, résilience et conviction profonde que la performance naît du soin de soi.
« Le plus grand mensonge qu’on m’ait vendu ? Que plus je travaillais, plus je performais. C’est faux : la performance est une conséquence, pas un objectif. »
Une mission née d’une colère et d’une nature
Indépendant, créatif, fonceur. Raphaël Fransès n’a jamais vraiment eu le profil pour être salarié. Mais ce qui l’a propulsé dans l’entrepreneuriat social, c’est surtout une colère : voir tant de talents gâchés, de jeunes perdus, de jugements à l’emporte-pièce.
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