D’un post Instagram à JouéClub : comment Laurie a bâti une marque inclusive avec 9 500 €
- Philippine Dolbeau

- 13 sept.
- 5 min de lecture
« Accroche-toi aux sourires et aux retours de ceux à qui tu fais du bien. »C’est la phrase qui ramène Laurie Verhelst à l’essentiel, quand les chiffres s’affolent ou que l’administration lui tombe dessus. Aux yeux du grand public, Ma petite malle d’éveil est une jeune marque française qui conçoit des bouteilles sensorielles belles, solides et inclusives — adaptées dès 3 mois, mais aussi utiles aux personnes âgées et aux publics en situation de handicap. Derrière la marque, il y a un choix fondateur : tout fabriquer en France, en s’appuyant sur des ESAT pour l’assemblage et la logistique, afin que l’inclusion ne soit pas un mot, mais un acte. Il y a aussi un engagement pédagogique, des installations Snoezelen et des formations pour pros, une présence qui s’étend des plateaux TV (France 3, La Maison des Maternelles) aux enseignes nationales (JouéClub, Nature & Découvertes), et des labels qui comptent : lauréate 101 Femmes de Matignon, Initiative Remarquable. Et puis il y a l’histoire intime, celle qui a planté la graine : un frère en situation de handicap, des heures d’hôpital, et la sensation très concrète qu’il manque des outils sensoriels adaptés, durables et accessibles.
D’un post Insta à un rayon JouéClub : l’ascension artisanale d’une marque inclusive
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