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Comment une salariée qui ne rêvait pas d’entreprendre a créé le premier coworking solidaire

« J’ai cru perdre mon local en 24 heures à cause d’un quiproquo administratif. Si j’étais restée dans l’émotion, Koneko Work n’existerait pas. »

Le déclic : ni totem “entrepreneur”, ni fantasme d’indépendance

Inès n’a jamais voulu “monter sa boîte”. Elle aimait son CDI, la sécurité, le cadre. Mais deux colères s’entremêlent après le Covid. La première, devant ces bars à chats vitrines où des animaux de race deviennent attractions. La seconde, face à l’aveuglement sur le bien-être au travail dans une époque de burnout discret et de quête de sens immense.Alors l’idée tombe, simple, évidente : réunir des humains en quête d’un cadre apaisant et des chats abandonnés en quête d’une famille. Un coworking où chaque poste de travail sert aussi une adoption. Ça n’existe pas ? Très bien. On va le créer.


Le pari : un lieu apaisant au cœur de Paris

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