De 60 refus à un premier client décroché par hasard : comment il a transformé l’échec en moteur
- Philippine Dolbeau

- 13 sept.
- 2 min de lecture
« Quand on t’a dit 60 fois non, il te reste deux choix : arrêter de rêver ou inventer ta propre porte d’entrée. J’ai choisi la deuxième. »
Un jeune “netoyen” face à la norme
Dans un pays où la stabilité et le salariat sont vus comme la voie royale, Med Amine Idrissi a fait un choix contre-courant : l’entrepreneuriat. Pas par vocation immédiate, mais par nécessité.Après plus de 60 entretiens sans résultat, il sort brisé en se disant : « peut-être que ce n’est pas moi le problème, mais le système ».
Alors, il tente. Avec 150 dirhams pour une carte de visite, il se lance comme auto-entrepreneur, en pleine pandémie.Son premier client ? Un opticien. Med Amine y entre pour acheter des lunettes… il en ressort prestataire en communication.
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