Pourquoi entreprendre tard, c’est entreprendre armé : expérience, réseau et vision long terme.
- Philippine Dolbeau

- 13 sept.
- 3 min de lecture
« Après 50 ans, on ne joue pas sa carrière : on joue sa liberté. »
Karim Othmani n’a pas suivi la route habituelle des startuppers. Pas de garage à 20 ans, pas de levée de fonds fulgurante à 25. Il a choisi l’entrepreneuriat après la cinquantaine, avec derrière lui des décennies de direction commerciale dans la Tech. Un pari que beaucoup jugeraient trop tardif, trop risqué. Pour lui, c’était au contraire le moment idéal : expérience solide, réseau construit, rapport au risque apaisé.
Avec son associé — lui aussi quinqua, lui aussi passé par les grandes boîtes — ils décident de lancer Skeells, une plateforme SaaS qui veut réinventer le coaching commercial. Objectif : transformer les commerciaux en véritables athlètes de la vente grâce à un coach virtuel qui les forme, les entraîne et les accompagne même en rendez-vous.
Le déclic
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